FASHION WEEK
"Personne ne sait comment dire 'Schiaparelli', mais tout le monde sait ce que cela signifie", expliquait Elsa Schiaparelli. Aujourd’hui, à une époque où la mode connaît un branding effréné, l’un des défis du créateur de mode Daniel Roseberry est d’honorer les codes de la maison tout en ne les réduisant pas à de simples logos. Pour le premier défilé de prêt-à-porter Schiaparelli, l’Américain a mis l’accent sur des basiques — cadenas signatures, références anatomiques, mètre ruban — et des silhouettes sincères. Un vestiaire complet est présenté, de la chemise en popeline blanche impeccable à la robe courte de cocktail en velours. Une ode à l’irrévérence et au drame du label à l’univers puissant.
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